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logement social18

13 novembre 2020

Vivre le confinement ensemble et sans contact

Vivre le confinement ensemble et sans contact

Comment vivre ensemble et sans contact? Il faut communiquer, garder le  contact quotidiennement et exprimer ses angoisses.

Bonne fin de semaine Marie-Carmel

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17 mai 2020

information Paris Habit

17 mai 2020

Chers (es) Amis (es),

Je vous transfère le tract que le Président et Directeur Général de Paris-Habitat ont envoyé aux Administrateurs.

Paris- Habitat va déduire des quittances de juin et juillet, les provisions de charges relatives au chauffage,

uniquement dans les groupes avec du chauffage COLLECTIF

Vous recevrez cette information avec la quittance de mai.

Portez-vous bien et bon week-end

Amicalement

Christian BALLERINI

administrateur

16 mai 2020

LOGEMENTS INADAPTÉS, RISQUES NÉFASTES SANTÉ OCCUPANTS

LOGEMENTS INADAPTÉS, RISQUES NÉFASTES SANTÉ OCCUPANTS

cnl75 RdP2020 n° 94 

 https://www.lemoniteur.fr 13/05/2020 M.-D. Albert - interview -

« A V O I R C O N S C I E N C E D E L ’ I N C I D E N C E D U L O G E M E N T S U R L A S A N T E P E U T F A I R E B O U G E R L E S L I G N E S »…

En obligeant à assigner 67 millions de Français à résidence, la crise du Covid-19 a eu pour effet secondaire de mettre en lumière les manques et les défauts de l’offre de logements. «Le Moniteur» a proposé aux acteurs de l’habitat de tirer les premières leçons du confinement. Pour Stéphane Rouault, l’un des trois architectes fondateurs de l’agence Lemérou, la conception et la construction de logements inadaptés peuvent accroître le risque, pour leurs occupants, de développer des maladies chroniques.

 Quels enseignements sur l’état du logement peut-on tirer de la pandémie du Covid19 et surtout du confinement qu’elle a contraint à imposer ? Nous sommes encore sous le coup de l’émotion de cette crise et il nous faudra prendre du recul pour en analyser les conséquences mais nous ne pouvons qu'espérer qu’elle remettra la qualité des logements, pour tous, au cœur du débat. Déjà, elle a jeté une lumière accrue sur des situations pourtant connues, notamment parce qu’elles sont dénoncées dans chaque bilan annuel de la Fondation Abbé-Pierre, en matière de mal-logement : des habitations surpeuplées, des bâtiments qui ont été mal pensés et/ou mal construits…

Ces situations très inégalitaires ont pu être des facteurs d’aggravation de la pandémie dans certains quartiers. Ainsi il est troublant de constater des correspondances entre les cartes de la suroccupation des logements dans le Grand Paris [publiées en avril par l’Apur, NDLR.] et celles des zones les plus touchées par la maladie. Le mal-logement a de toute façon une incidence sur la santé. Ce constat pourrait d’ailleurs faire bouger les lignes. La crise du Covid-19 a mis la santé au premier plan des préoccupations. Elle poussera peut-être les gens à juger leur logement à l’aune de cette nouvelle donne.

 En quoi les conditions de vie chez soi peuvent dépasser le seul inconfort et être néfastes pour la santé ? Notre agence travaille déjà avec des groupes de médecins et lorsque nous leur présentons des logements «standards», ils sont inquiets. Même s'il ne faut pas généraliser, pour eux, de nombreux déclencheurs de maladies chroniques y sont potentiellement réunis comme la mono-orientation qui génère un manque de lumière et une mauvaise ventilation.

 Normes phoniques inexistantes Les cuisines, réduites au strict minimum, peuvent aussi avoir un impact : faute de place pour bien préparer les repas, il y a un risque de moins bien se nourrir. Il manque aussi un lieu pour partager ces repas, pour échanger en famille. Au-delà de l’hygiène physique, ces conditions peuvent avoir des répercussions sur le mental. Ainsi, il faut pouvoir s’isoler dans son propre logement, se mettre au calme. Mais si les normes phoniques sont très strictes pour ce qui est de l’isolation d’un logement à l’autre, elles sont inexistantes au sein d’un même foyer. Il faudrait pouvoir imposer des cloisons épaisses.

 Les typologies mêmes des logements vous semblent inadaptées… Nous n’arrivons pas, aujourd’hui, à sortir d’une logique de «produit» : on voit beaucoup les mêmes deuxpièces, trois- pièces, quatre-pièces … qui correspondent à des modèles financiers. Ils sont trop rarement pensés en fonction des réalités locales ou des besoins véritables. Par exemple, les deux et trois pièces représentent le gros de la production neuve tandis qu’on construit très peu de grands logements, par crainte du manque de solvabilité des acquéreurs. D’une manière générale, on considère que la cellule familiale a rét réci, parce que les couples se séparent. Mais on oublie là de penser aux familles recomposées, qui vivent une partie du temps à trois ou quatre et parfois à cinq ou plus, ou encore à ceux qui souhaitent pouvoir accueillir leur parents ou, pourquoi pas, quelqu’un dans le besoin. Quelles solutions avons-nous à leur proposer ? Cela fait partie des sujets sur lesquels il nous faut travailler.  Donner des marges de liberté Plus généralement, le modèle actuel pensé comme «un séjour + des chambres» ne permet pas beaucoup plus d’usages que regarder la télé et dormir. Ce qui impose tout de même un drôle de mode de vie. Et où trouve-t-on la place, comme ces dernières semaines, pour organiser le télétravail ou faire l’école à la maison ?

Il faut savoir redonner de la souplesse aux logements, rendre la possibilité aux gens de choisir ce qu’ils veulent y faire.  Quelles marges de liberté pouvons-nous offrir ? Le minimum serait des vues si possible, de la lumière naturelle, des cuisines confortables, un balcon ou une terrasse, pouvoir être ensemble mais aussi s'isoler. Des coins et recoins pour y inventer ses usages ! Notre agence a par exemple développé le principe de «l'entre-pièces». Voilà des années que nous plaidons pour que le logement soit à nouveau envisagé au sens du lieu où l’on habite et non plus, donc, comme un produit. Cela dit, ce logement seul ne peut pas tout. Il va certainement falloir aussi réfléchir à mutualiser des usages et à repenser les gouvernances des lieux. Par exemple tout ce qu’il serait possible de proposer à l'échelle de l'immeuble ? De la résidence ? De l'îlot ?

 Mais comment revoir les mécanismes de production ? En priorité, il faut en finir avec le principe de la démolition comme incontournable point de départ. Nous devons profiter du patrimoine dont nous disposons, que ce soit dans les quartiers en renouvellement urbains ou dans les centres bourgs. Nous devons être inventifs pour transformer, restructurer, réhabiliter et densifier tout bâti existant. Nous devons aussi raisonner en coût global, aller au-delà du coût immédiat de la construction. On pourrait aller très loin. De la même manière qu’il serait possible d’intégrer les économies d’énergie sur le long terme, on peut imaginer tenir compte des baisses de dépenses sociales et sanitaires générées par des logements bien conçus.

La question est évidemment de savoir comment financer cela et je n’ai pas la réponse. Mais prenons l’exemple du télétravail : à la suite de cette crise sanitaire, les entreprises verront peut-être un intérêt à le développer, notamment pour faire des économies sur leur poste immobilier. Mais dans ce cas, le télétravail deviendra un modèle et il faudra que les employeurs participent au financement de logements qui seront véritablement adaptés au travail de leurs salariés.

16 mai 2020

Annulation des provisions de charges de chauffage

 

 

information du jour

Bonjour;

Info interessante. Z"auraient pu mettre la date  (j'ai cru au canular)

Paris Habitat vous informe

ANNULATION DES PROVISIONS DE CHARGES DE CHAUFFAGE

Madame, Monsieur, Depuis le début de la crise sanitaire, les équipes de Paris Habitat sont mobilisées pour vous accompagner dans la situation complexe que nous traversons et assurer la continuité du service. Conscients des difficultés que vous pouvez éventuellement rencontrer, nous nous sommes attachés à concevoir et à prendre des mesures pour atténuer les conséquences économiques de cette crise et contribuer au maintien de votre pouvoir d’achat. Ainsi, nous avons pris la décision d’annuler la facturation des provisions de charges de chauffage en juin et juillet, pour vous aider dans ce contexte bien particulier. Vous n’avez aucune démarche à faire, nous avons déduit le montant correspondant de votre avis d’échéance. Cette nouvelle mesure s’inscrit dans le prolongement des actions déjà mises en œuvre depuis le début de la crise sanitaire. Par exemple, pour que la régularisation des charges soit la plus favorable à chaque locataire, Paris Habitat a décidé de rembourser un mois plus tôt les locataires créditeurs et de reporter d’un mois le règlement pour les locataires débiteurs, tout en leur proposant des mesures d’aides si besoin. Par ailleurs, de nombreux locataires ont déjà été contactés par les équipes de proximité pour les accompagner dans le règlement de leur loyer, en les renseignant sur les modes de paiement plus accessibles dans la période (prélèvement automatique, paiement par carte bancaire ou virement) et en leur proposant un échelonnement de leur paiement selon les situations. Je vous invite, si vous rencontrez la moindre difficulté pour payer votre loyer ou pour toute autre demande d’aide de notre part, à vous rapprocher de votre agence et de vos interlocuteurs habituels qui restent à votre disposition pour étudier, ensemble, votre situation personnelle et élaborer ainsi, avec vous, la solution la plus adaptée.

Nous tenons à vous réaffirmer l’engagement de Paris Habitat et de votre équipe de proximité qui reste à votre disposition pour tout renseignement par téléphone (ou sur rendez-vous si nécessaire) et vous prions d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de nos sentiments les meilleurs.

Roger MADEC

Président de Paris Habitat

 

Stéphane DAUPHIN 

Directeur général de Paris Habitat

Bonne réception à tous

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